terça-feira, 31 de maio de 2005

O «NÃO» FRANCÊS


Nicolau Santos - A CONSTITUIÇÃO ESTÁ MORTA E ENTERRADA
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O «não» francês no Expresso Online.

3 Comments:

At 31 de maio de 2005 às 11:57, Anonymous Anónimo said...

AMANHÃ NA HOLANDA VAI SER IGUAL:

One day before the referendum on the EU Constitution in the Netherlands, pollsters estimate the Dutch "Nee" to be even more resounding than the French "Non".

Opinion polls released on Monday (30 June) indicated that the Dutch are likely to reject the EU Charter by around 60 percent in tomorrow’s first ever nation-wide referendum in Dutch history.

A TNS NIPO poll for RTL television predicted opposition to the text to lie at 58 per cent, while 42 per cent would vote in favour.

A survey by the country’s main election researcher Maurice de Hond indicated a share of 59 per cent of the Dutch set to vote "Nee".

One poll by the current affairs TV programme Twee Vandaag even estimated the No to lie at 65 per cent.

The French No to the Charter, which emerged after a historic referendum last Sunday, has boosted the Dutch No camp, Mr de Hond stated in a press release.

"The recent momentum of the Yes camp has been brought to a halt by the result in France", Mr de Hond said.

Over the past week, the Yes campaign had gained some ground, but following the French "non", supporters of the constitution are now less likely to go to the polls, according to the pollster’s findings.

Turnout is expected to be significantly lower in the Netherlands than in France, at around 50 per cent.

However, this is far above the turnout threshold of 30 per cent, named by political parties in the Dutch parliament as a condition for the Parliament to adopt the result.

The Dutch referendum is non-binding, meaning that the Dutch parliament has the final say on ratification of the Constitution.

 
At 31 de maio de 2005 às 12:13, Anonymous Anónimo said...

Efforts de dernière minute des partisans du "oui" aux Pays-Bas



mardi 31 mai 2005 (Reuters - 10:49)




par Emma Thomasson

AMSTERDAM - Largement distancés dans les sondages par le camp du refus, les partisans du "oui" au projet de constitution européenne ont déployé à la veille du référendum aux Pays-Bas des efforts désespérés pour tenter de convaincre les Néerlandais de ne pas "faire la jonction" avec l'électorat français.

Les dernières études d'opinion s'accordent à prédire la victoire du "non" avec une marge allant de 51% à 65%, un résultat qui, s'il se confirmait, enfoncerait aux yeux de nombreux observateurs un clou supplémentaire dans le cercueil du traité constitutionnel européen.

La presse néerlandaise regorgeait mardi de placards incitant les électeurs, encore indécis dans une proportion de 10 à 12%, à se rendre massivement aux urnes, que ce soit pour voter pour ou contre le texte.

"J'ai une certaine expérience de l'Europe. La constitution renforce l'Europe et, par voie de conséquence, les Pays-Bas", écrit ainsi Wim Duisenberg, ex-gouverneur néerlandais de la Banque centrale européenne dans un appel publié dans l'Algemeen Dagblad aux frais du gouvernement.

"Au 66.000 mots de la constitution européenne, nous aimerions en ajouter un seul: 'non'", proclame pour sa part un groupe se baptisant "Le vote moral".

Comme la France, les Pays-Bas sont un des six pays fondateurs de la Communauté et le soutien à l'idée européenne y est traditionnellement fort, mais, comme dans l'Hexagone, les facteurs politiques et sociaux intérieurs l'ont érodé ces dernières années.

L'assassinat il y a six mois du metteur en scène controversé Theo van Gogh par un islamiste a alimenté le ressentiment du Néerlandais de la rue contre les immigrés musulmans, déjà pris pour cibles par le flamboyant leader populiste Pim Fortuyn, assassiné en 2002 par un illuminé.

"SE PLAINDRE DU PASSE OU AMELIORER L'AVENIR"

Cette inquiétude face à l'immigration et à l'insécurité, combinée à la stagnation économique, la montée du chômage et l'austérité budgétaire, ont contribué à l'impopularité du gouvernement de centre-droit du Premier ministre Jan Peter Balkenende.

Celui-ci a donc été contraint de livrer une bataille à contre-courant pour tenter de persuader ses concitoyens de ne pas transformer le référendum européen en vote-sanction contre son gouvernement, de mécontentement contre l'euro ou d'hostilité à la candidature de la Turquie à l'UE.

Mais la récente, quoique relative, remontée du "oui" dans les intentions de vote a été stoppée net par le "non" massif au référendum de dimanche en France, estime le sondeur Maurice de Hond, qui juge désormais "très faibles" les chances d'adoption du texte mercredi aux Pays-Bas.

Le ministre de l'Economie, Laurens-Jan Brinkhorst n'en a pas moins balayé d'un revers de main ces prédictions pessimistes en affirmant mardi à la télévision que "le seul sondage qui vaille c'est le vote final, qui aura lieu demain".

Geert Wilders, un adversaire de l'immigration qui passe pour l'héritier politique de Fortuyn et vit sous haute protection après avoir reçu des menaces de mort, a annoncé son intention de distribuer aux électeurs des faux billets d'euros pour les convaincre de voter "non".

Au cours de cette dernière journée de campagne, huit ministre du gouvernement Blakenende devaient débattre du contenu du projet de constitution avec les jeunes dans divers lycées du pays tandis que des députés favorables au "oui" comptaient aller au contact des voyageurs à la gare ferroviaire d'Utrecht.

"Les Néerlandais ont le choix entre se plaindre du passé et améliorer l'avenir", a résumé Lousewies van der Laan, numéro deux du parti centriste D66, membre de la coalition au pouvoir.

 
At 1 de junho de 2005 às 12:01, Anonymous Anónimo said...

É HOJE, AS SONDAGENS DE ONTEM DÃO A VITÓRIA AO NÃO NA HOLANDA:

Referendum


Ja-stemmers zetten eindsprint in
HILVERSUM - Aan de vooravond van het referendum voor de Europese grondwet heeft de groep ja-stemmers de achtervolging ingezet op de tegenstanders. De beide kampen zitten volgens de laatste peilingen weer dichter bij elkaar: 46 procent wil voor stemmen, 54 procent is tegen.

Volgens Interview/NSS, die de peiling dinsdag uitvoerde in opdracht van tv-programma Nova, zijn het vooral de twijfelaars die zich te elfder ure achter de grondwet scharen. Van de Nederlanders, die zeggen te gaan stemmen, zal 7 procent pas in het stemhokje bepalen of het voor of tegen wordt.

Als belangrijkste reden om tegen de grondwet te stemmen zeggen kiezers, dat Nederland invloed in Europa zal verliezen (54 procent), grote landen de dienst uit gaan maken in de EU (52 procent) en de politiek anders "over onze hoofden heen" beslist (42 procent). Voorstanders menen dat grensoverschrijdende problemen Europees moeten worden aangepakt (57 procent) en een verenigd Europa "wenselijk" is (53 procent).

Interview/NSS constateerde maandag nog dat 60 procent tegen en 40 procent voor de grondwet wil stemmen.

 

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